Stéphanie Paillet

praticienne en psychothérapie
thérapie cognitivo-comportementale
enfants - adolescents - adultes

Ma démarche

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J'ai choisi le métier d'enseignante parce qu'il est source d'évolution. Il offre un environnement énergisant et me met au contact des enfants, toujours inspirants et encourageants. Je dois au quotidien les inspirer, les diriger, les motiver. Je donne le meilleur de moi-même et je les regarde grandir.

J’ai au cours de ces 20 années enrichi mon parcours initial par différentes formations qui me passionnent particulièrement (troubles des apprentissages, attention, confiance en soi, utilisation du jeu comme support d'apprentissage, ateliers philo, mémoire, gestion du stress, compétences psycho-sociales) dans le but d'identifier et dédramatiser les difficultés liées au milieu scolaire et adapter le parcours de chacun.

Forte de mon expérience et de mes formations, j’ai naturellement souhaité revenir à ma passion première. J’ai ainsi suivi une formation certifiante et ai été formée à différents outils thérapeutiques issus de la thérapie cognitivo-comportementale, dite TCC.
Il s’agit d’une thérapie pour « modifier » quelque chose : analyser pour comprendre puis agir pour avancer.  La TCC est reconnue efficace pour développer la confiance en soi, l’estime de soi, l’affirmation de soi.

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Mon expérience et mes formations me conduisent à lier ces deux savoir-faire en relevant le défi « d’être soi parmi les autres » : développer des compétences psycho-sociales afin de prendre en compte les besoins humains fondamentaux dans le contexte relationnel.

Au Québec, il existe naturellement le terme de psychoéducateur.



« À l’heure où l’homme n’a jamais autant communiqué, il n’a jamais autant souffert d’isolement social. Avec des outils de communication de plus en plus puissants, l’homme est devenu un technicien habile, rapide, expert et performant qui focalise son attention sur la croissance de ses outils et néglige son contexte relationnel et ses besoins humains fondamentaux. » (Le Monde -  novembre 2022)

"La dégradation constatée de la santé psychique de notre population doit absolument faire l’objet d’une évaluation complète. L’enquête CoviPrev, menée par Santé publique France depuis les débuts de la crise, offre une bonne base de travail. Elle atteste d’une dégradation significative de la santé mentale de la population. Les derniers résultats disponibles montrent que les états anxieux et dépressifs se maintiennent à des niveaux élevés : dégradation du sommeil, baisse du niveau de satisfaction de vie, augmentation des pensées suicidaires etc. La hausse facilement mesurée de la consommation des médicaments psychotropes en est un indicateur." « Faire de la santé mentale la grande cause nationale d’après-crise » - L'Opinion - par B. Cyrulnik, M. Dugnat, N. Collomb et H. Dubert